Quand les gens riaient, je ne savais pas toujours pourquoi.

Les problèmes auditifs de Werner ont commencé il y a environ 15 ans. « À l’époque, je travaillais chez SNCB Technics, d’abord comme chef de département, puis comme Directeur d’atelier à Gentbrugge. En tant que directeur, assister à des meetings dans des grandes salles pleines de monde faisait partie de mon job. J’arrivais difficilement à comprendre les collègues assis loin de moi et avec qui je n’avais pas de contact visuel. Les conversations avec mes collaborateurs dans l’atelier, toujours très bruyant, étaient compliquées. Cela conduisait parfois à des erreurs de compréhension et des malentendus. À la longue, je préférais envoyer un e-mail plutôt que téléphoner. Ou alors je devais me tenir très proche d’un collègue pour pouvoir tout comprendre, ce qui m’obligeait à lui donner quelques explications. (rires) Je rencontrais les mêmes problèmes dans les réunions de famille ou entre amis. Quand les gens riaient, je ne savais pas toujours pourquoi. C’était vraiment pesant. Au point que j’en arrivais à éviter le plus possible ce genre de situations. »

Le pas vers des aides auditives a donc été vite franchi ?

« Pas vraiment. Quand j’ai remarqué que je commençais à moins bien entendre, j’en ai parlé avec un membre de ma famille qui avait eu des problèmes d’audition. Pour lui, la solution avait été une opération, j’ai alors pensé que ce serait pareil pour moi. Mais non, le spécialiste m’a dit que mes problèmes auditifs étaient héréditaires et qu’une opération n’y changerait rien. J’aurais espéré le contraire. Quelques années plus tard, j’ai demandé conseil à un autre spécialiste qui m’a dit exactement la même chose et m’a conseillé de porter des aides auditives. J’ai repensé à ma grand-mère, qui effectivement était dure d’oreille et portait des appareils. Elle y chipotait tout le temps, ce qui fait que les appareils sifflaient horriblement. Tout le monde pouvait les entendre ! C’est donc avec un sentiment mitigé que j’ai finalement poussé la porte d’un centre auditif Lapperre. »

« Avec mes nouvelles aides auditives, je suis au paradis ! »

Depuis peu, vous portez les toutes dernières aides auditives Lapperre.

« Oui, c’est exact, depuis le début de cette année. J’avais droit à une nouvelle intervention de ma mutuelle à l’achat de nouveaux appareils, comme c’est le cas tous les cinq ans. J’ai donc eu envie de les tester avant. Un nouveau test d’audition a révélé que j’avais une perte d’audition moyenne de 60 décibels, aux deux oreilles, donc sans appareils je n’entendais quasi rien. Sur la base de l’audiogramme, Isabelle a programmé mes nouvelles aides auditives que j’ai pu essayer à la maison. Grâce à l’application associée, je pouvais adapter moi-même le volume, mais aussi modifier et tester certains autres réglages. Après une semaine, j’ai soumis mes quelques suggestions à Isabelle, suite à quoi elle a réglé parfaitement mes appareils. Et depuis, je me sens au paradis ! »

Quels sont les grands avantages de vos nouveaux appareils ?

« Ils s’adaptent automatiquement à chaque situation, je ne dois donc plus aller au centre auditif. En plus, je comprends tout beaucoup mieux. Annemie le dit aussi. Dans la voiture notamment. Et quand j’écoute de la musique, je suis un homme heureux. Je reconnais à nouveau le Elvis d’avant ! »

« Qui cherche trouve »

« Werner souffre d’une perte auditive modérée à sévère. De ce fait, il arrive difficilement à comprendre une conversation. Les aides auditives sont une grande aide pour lui, même s’il n’était pas fan de ses précédents appareils. Il a fallu chercher longtemps pour trouver une sonorité agréable. La musique, avant tout, ne lui semblait pas naturelle. »

« Depuis, il porte nos tout derniers appareils auditifs de la catégorie World+, du sur mesure pour les personnes qui aiment la musique, sortent souvent manger au restaurant et ont un agenda d’activités très rempli. La solution idéale pour Werner. La différence avec ses aides auditives précédentes a tout de suite été évidente : je n’ai dû régler qu’une seule fois ses nouveaux appareils pour trouver ce qui lui convenait. Aujourd’hui, il suit toutes les conversations, même dans des pièces où l’acoustique est mauvaise. »

« Werner m’a confié qu’il pouvait à nouveau profiter de la musique qu’il écoute, ce qui est très important pour lui. En plus, c’est une technologie totalement sans fil. Avec de nombreuses options, tout ce qu’il fallait pour Werner. Il me dit qu’il entend clairement et agréablement les sons. Dans tous types de situation, mais jamais au détriment de la compréhension des conversations. Qui cherche trouve, notre conclusion est claire ! »

Isabelle Speeckaert, l’audicienne de Werner